Danemark : la gauche ferme la frontière et l’Europe applaudit

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Et si, finalement, le salut venait du Nord ? Non pas d’un sursaut identitaire de l’AfD ou de la Ligue, mais d’un gouvernement… social-démocrate. Car c’est bien le Danemark, dirigé par Mette Frederiksen, qui impose aujourd’hui à l’Europe une ligne claire, ferme, assumée sur l’immigration. Loin des lamentations des technocrates de Bruxelles, les Danois ont compris depuis longtemps que l’hospitalité a des limites, et que la souveraineté ne se partage pas.

Des lois dures ? Non : du bon sens

Confiscation des biens des migrants pour financer leur accueil. Centres de rétention externalisés. Subventions pour encourager les retours. Location de prisons au Kosovo pour enfermer les délinquants sans papiers. Voilà le catalogue – que d’aucuns jugeront « radical » – d’une politique en réalité empreinte d’un pragmatisme salutaire. Résultat : à peine 860 demandes d’asile accordées en 2024. Quelques centaines de clandestins seulement. Des chiffres que la France, engluée dans sa repentance permanente, n’ose même plus espérer.


Pendant que l’Union européenne bat mollement des ailes face à des flots migratoires incontrôlés, le Danemark trace sa route. Mieux : il fédère. L’Italie de Giorgia Meloni, les Pays-Bas, l’Allemagne de Friedrich Merz… Tous convergent vers la ligne Frederiksen. À chaque sommet européen, les petits déjeuners organisés entre États favorables à une immigration maîtrisée deviennent des lieux de pouvoir réels, bien plus influents que les grands-messes officielles.

Une gauche qui ose gouverner à droite

Ce qui dérange tant dans l’exemple danois, ce n’est pas tant la rigueur des mesures, mais le fait qu’elles émanent d’un gouvernement de gauche. Une gauche qui a compris que l’idéologie multiculturaliste est un poison, et que le premier devoir d’un État est de protéger ses citoyens. En acceptant enfin d’aborder le sujet des migrations sous l’angle de la sécurité, de l’assimilation et de l’intérêt national, Mette Frederiksen ridiculise nos responsables français, empêtrés dans leurs tabous.

Et lorsqu’elle déclare vouloir « se débarrasser des gens qui ne respectent pas les règles ou qui sont une menace », elle ne fait qu’énoncer une évidence. La France des quartiers perdus et des zones de non-droit devrait en prendre de la graine. Car à force de reculer, nous avons laissé se multiplier des « sociétés parallèles » que le Danemark, lui, s’emploie à prévenir.

L’Europe qui se réveille… enfin ?

Il faut croire que le vent tourne. Les discours culpabilisants s’épuisent. L’idéologie du sans-frontiérisme s’effondre sous le poids du réel. Et même la Commission européenne, longtemps gardienne du dogme, commence à adopter les idées qu’elle dénonçait hier encore. La directive sur les retours, les projets de centres d’accueil externalisés, les accords avec des pays tiers pour y relocaliser les migrants : tout cela porte la marque danoise.

Le Danemark prouve qu’on peut agir. Qu’il n’est pas trop tard pour reprendre le contrôle. Qu’aucune politique migratoire n’est condamnée à l’impuissance. Et que, oui, lorsqu’un pays assume sa souveraineté, il peut choisir qui entre chez lui – et qui doit repartir.

L’heure n’est plus aux déclarations compatissantes. L’heure est venue de protéger nos peuples, nos frontières, notre civilisation. Merci au Danemark de le rappeler à une Europe trop longtemps endormie.

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