François Bayrou, 71 ans, premier ministre français depuis décembre 2024, jouit d’un talent rare : rendre palpable à la fois l’échec politique et la maladresse physique. Dernière illustration, au salon du Bourget, où l’homme qui aspire à diriger ne parvient même pas à sortir d’un avion de chasse. Coincé dans le cockpit d’un Rafale sous les yeux ébahis des caméras, Bayrou devient la risée des réseaux sociaux : « Chaque matin il se regarde dans le miroir et se demande : “Qu’est-ce que je vais faire aujourd’hui pour passer pour un c*n?” » s’esclaffe un internaute médusé.
Côté action politique, le bilan est tout aussi décoiffant. Bayrou a organisé un fameux “conclave” sur les retraites, censé déboucher sur un compromis. Résultat ? Aucun accord à l’arrivée, des unités détruites, et le Premier ministre brandissant finalement le spectre du budget Sécu à l’automne pour sauver les meubles. Plus pathétique encore : les socialistes, outrés par sa promesse non tenue de soumettre le dossier au Parlement, menacent désormais une motion de censure – qui pourrait être votée si la droite RN décidait de jouer le tramway des oppositions croisées.
Populaire ? Voyez-vous cela… un sondage Ifop révèle que 64 % des Français désapprouvent sa nomination à Matignon, et 67 % estiment que son gouvernement court droit à la chute d’ici peu. Oui, le Premier ministre le plus impopulaire de la Ve République selon Ipsos, dépassant même les records de ses prédécesseurs.
Alors, que reste-t-il à François Bayrou ? Un siège de premier ministre qui ressemble de plus en plus à un siège éjectable… de Rafale. Il maintient l’équilibre budgétaire comme mantra, tout en réaffirmant dans l’indifférence que « le compromis était à portée de main », alors qu’il ne tenait que dans sa propre tête.
En clair, ce technocrate centriste prend l’apparence d’une cocotte minute qu’on n’arrive pas à refermer : beaucoup de bruit, un peu de fumée, mais pas de résultat. Il s’accroche à Matignon comme on tente de sortir d’un avion de chasse trop petit : sans préparation, pataud, et finalement inefficace. Le tout sous le regard amusé des Français, qui s’interrogent de plus en plus : à quoi sert vraiment François Bayrou ?