450 millions d’habitants dans l’UE : record battu… grâce à l’immigration

AP Photo / Sima Diab

C’est désormais officiel : l’Union européenne compte plus de 450 millions d’habitants. Un record historique. Une victoire ? Pas vraiment. Car derrière les chiffres d’Eurostat publiés ce vendredi, se cache une réalité que Bruxelles préfère ne pas nommer trop fort : l’immigration est le seul moteur de cette croissance.

Depuis 2012, les décès dépassent les naissances. Autrement dit, les peuples européens disparaissent doucement, pendant que des millions d’étrangers viennent, chaque année, repeupler un continent qui ne fait plus d’enfants. En 2024, 4,82 millions de décès pour seulement 3,56 millions de naissances : un déficit naturel de 1,3 million d’âmes. Pas étonnant, puisqu’on tue dans le ventre de leurs mères plus de 3 millions de bébés chaque année en Europe ! Oui, vous avez bien lu : l’Europe avorte plus de 3 millions de ses enfants par an ! (source) Alors forcément, pour combler ce vide, 2,3 millions d’immigrés viennent grossir les rangs. Résultat : la population augmente… mais ce n’est plus la même.


Un changement de population assumé, maquillé en victoire statistique

On présente cette explosion démographique comme une bonne nouvelle. Elle ne l’est que pour ceux qui confondent croissance et dilution identitaire. Derrière la formule « solde migratoire positif », il faut lire : remplacement de population à bas bruit, par le truchement d’une politique démographique délirante, incapable de relancer les naissances mais parfaitement efficace pour organiser l’appel d’air migratoire.

Eurostat évoque pudiquement les « mouvements migratoires post-Covid ». Il aurait fallu dire : incapacité chronique des pays européens à défendre leurs frontières, à mener une politique nataliste sérieuse, à redonner envie aux jeunes Européens de fonder des familles.

Une Europe qui ne fait plus d’enfants mais importe du monde

En France, championne européenne des avortements, cette dynamique est déjà visible. Si l’on retirait le facteur migratoire, notre démographie serait en chute libre. Le seuil de renouvellement des générations n’est plus atteint. Les maternités ferment en milieu rural pendant que les quartiers des grandes villes explosent. L’école, l’hôpital, la justice sont débordés. Le vivre-ensemble devient une injonction morale qui masque l’échec concret d’une société fragmentée.

L’avenir ? Une Europe peuplée, mais par qui ?

L’Union européenne se réjouit de sa vitalité démographique retrouvée. Mais quel est le prix de cette illusion statistique ? Ce n’est pas seulement une question de chiffres, mais de civilisation.

Les peuples européens, lassés de survivre sans transmettre, finiront par disparaître, remplacés par des flux migratoires constants, mécaniquement encouragés par une bureaucratie hors-sol.

450 millions d’habitants, peut-être. Mais pour combien de temps encore l’Europe sera-t-elle l’Europe ?

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