C’est une monstrueuse épée de Damoclès pendue au-dessus de nos têtes.

En 2020, 45 condamnés pour faits de terrorisme vont sortir de prison, au terme de leur peine. en 2021, ils seront 57, puis 46 en 2022.

Mais ce n’est pas tout. Les années suivantes, ce sont les condamnés les plus lourds qui vont sortir.

Devant les parlementaires de la commission des lois, le procureur national antiterroriste (PNAT), Jean-François Ricard, s’est exprimé clairement : « J’ai une vraie inquiétude. On va remettre en liberté des individus très dangereux. » La direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), chef de file de la lutte antiterroriste, évoque aussi « un gros sujet de préoccupation ».

L’arsenal législatif laxiste fait que des ennemis de la France, qui aurait été jadis traités comme tels – et donc fusillés – sont aujourd’hui considérés comme des détenus de quasi droit commun. C’est une insupportable menace qui se précise contre le peuple français.

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