Trump face au chaos woke : un président debout là où les autres s’agenouillent
Tout le dossier : Woke et Cancel cultureAlors que les rues de Los Angeles flambent sous les hurlements des militants Antifas et des partisans de l’illégalité migratoire, un homme tient bon, seul face au désordre organisé : Donald J. Trump. Tandis que les gouverneurs démocrates comme Gavin Newsom ferment les yeux sur la loi violée, les frontières ouvertes et les villes sanctuaires transformées en no-go zones, Trump agit. Il envoie la Garde nationale. Il envoie les Marines. Il envoie un message clair : les États-Unis sont une nation souveraine, pas une auberge espagnole pour les hors-la-loi internationaux.
Le président américain n’a pas peur de briser les bastions de l’idéologie woke qui gangrène les institutions. À Los Angeles, deuxième ville du pays, les forces de l’ordre sont dépassées par des hordes de manifestants plus préoccupés par la régularisation de clandestins que par le respect des lois. Le centre-ville est couvert de graffitis, les bâtiments fédéraux doivent être protégés comme en temps de guerre, et la police se heurte à une violence planifiée, légitimée par l’extrême gauche.
Et pendant ce temps, que font les autorités locales ? Elles pleurnichent sur le « caractère exceptionnel » du déploiement fédéral. Newsom, ce gouverneur plus préoccupé par son image sur CNN que par la sécurité de ses concitoyens, dénonce une « dérive autoritaire ». Quand il ne s’indigne pas d’un drapeau américain brandi par un élu républicain, il pleurniche sur Twitter avec des photos du Capitole. Lamentable diversion.
Trump, lui, se moque des jérémiades. Il voit la réalité : des villes entières livrées à des activistes étrangers, où des drapeaux mexicains flottent plus haut que la bannière étoilée. Il agit. Il fédéralise la Garde nationale, mesure parfaitement légale, et assume. Car non, un président n’est pas élu pour composer avec des élus locaux complices de l’illégalité, mais pour protéger son peuple.
« Cette ville aurait été réduite en cendres », a-t-il rappelé avec justesse. Qui peut nier que l’explosion de violence depuis les raids de l’ICE est encouragée par le refus des villes « sanctuaires » de coopérer avec les autorités fédérales ? Los Angeles, San Francisco, Dallas : autant de citadelles de l’idéologie du laxisme où l’on protège l’illégal plutôt que le légal.
Que Trump ose rappeler que les États-Unis sont une nation de lois, voilà ce qui dérange. Que Trump se dresse contre les pleureuses woke qui voient du racisme dans chaque interpellation, du fascisme dans chaque drapeau américain, c’est cela le courage. Tandis que la gauche radicale couvre les émeutes, défile avec les clandestins et insulte l’Amérique, Trump agit pour la restaurer.