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Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
Quand 200.000 personnes vivent directement du trafic, quand les mafias opèrent depuis l’étranger, quand la cocaïne est devenue un produit de consommation banalisé, la réponse policière ne suffit plus.
À 74 ans, dit-on, il ne représenterait plus une menace. La belle affaire. Les morts de 1982, eux, n’ont pas vieilli.
Un détenu fiché, visé par une notice rouge d’Interpol, évadé sans effraction, sans arme, sans complicité armée, simplement en se glissant dans un sac. Voilà où nous en sommes.
Nous avons visité caméra sur l’épaule ce lieu sous haute-sécurité aux côtés de la député européenne ECR Marion Maréchal.
Faut-il attendre qu’un nouveau carnage se produise pour oser poser les vraies questions ?
Ce n’est pas un phénomène de marginalité. C’est une prise de territoire.
Ce mercredi matin, vingt policiers en gilets pare-balles, accompagnés de juges d’instruction, ont investi le siège du Rassemblement national, premier parti d’opposition de France. Bureaux fouillés, ordinateurs saisis, messageries explorées. Le tout, sans que les principaux concernés sachent précisément ce qu’on leur reproche.