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Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
Derrière le jargon rassurant des analystes de Francfort, le message est clair : les États ne vous protégeront pas. Les banques non plus. Ni vos applis bancaires, ni vos cartes « sécurisées ».
Pendant que les familles françaises s’inquiètent de boucler leurs fins de mois, l’État continue de verser 2,6 milliards par an à un monstre bureaucratique incapable de se réformer.
La Cour des comptes vient de publier un rapport au vitriol sur France Télévisions.
75.050 euros de dépenses en quatre ans, pour garnir ses armoires de Dior, Burberry ou Bompard, pendant que des milliers de Parisiens dorment dehors, que les rues sentent l’urine et que les ordures s’amoncellent.
Quatre jours à peine après son installation à Matignon, Sébastien Lecornu donne le ton : celui du recul.
La France vit au-dessus de ses moyens, refuse toute réforme sérieuse, et préfère distribuer des chèques pour acheter la paix sociale.
Marine Le Pen désigne les vraies sources du déficit : les flux migratoires incontrôlés, les cotisations françaises versées à Bruxelles, et les rentes d’un appareil d’État devenu obèse.