Depuis l’attaque de la préfecture de police de Paris le 3 octobre dernier, « 287 signalements » de radicalisation islamiste «  d’agents publics » ont été rapportés à la Direction générale de la sécurité intérieure, a indiqué ce jeudi le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner.

Christophe Castaner a souligné ainsi que « l’essentiel » des signalements était classé sans suite. Ces signalements ont été recensés par l’état-major de la DGSI et portent sur « les agents publics au sens large », a-t-il ajouté.

Depuis l’attaque de la préfecture de police de Paris le 3 octobre dernier, « 287 signalements » de radicalisation islamiste «  d’agents publics » ont été rapportés à la Direction générale de la sécurité intérieure, a indiqué ce jeudi le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner.

Christophe Castaner a souligné ainsi que « l’essentiel » des signalements était classé sans suite. Ces signalements ont été recensés par l’état-major de la DGSI et portent sur « les agents publics au sens large », a-t-il ajouté. Comme le président de la commission d’enquête, Eric Ciotti (LR), lui demandait si cela concernait des agents travaillant dans les transports, il a répondu par l’affirmative.

Concernant la police, le ministre a évoqué « 110 cas signalés » pour radicalisation islamiste depuis le 3 octobre. Sur ce total, « 73 cas ont été classés » et « 2 agents ont été écartés », a-t-il dit.

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