Chaque jour, recevez gratuitement nos informations dans votre boite mail.
Votre opinion, votre expérience et vos reflexions nous intéressent.
Soutenez La Lettre Patriote à partir de 7 euros par mois !
Publicité
Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
Le Président a retrouvé un air déjà entendu : celui d’un chef d’État convaincu que la société fonctionnerait mieux si la parole publique passait par un sas contrôlé.
La macronie tombe. La seule inconnue, désormais, c’est la profondeur du trou.
À une voix près, l’Assemblée nationale a adopté la proposition de résolution du Rassemblement national visant à dénoncer l’accord migratoire de 1968 entre la France et l’Algérie.
Emmanuel Macron, toujours chef de l’État, se lève devant le Forum de la Paix et annonce, sans vergogne, sa nouvelle obsession.
Ce que les commentateurs de salon appellent « outrance » n’est rien d’autre que la mise en pratique d’une évidence diplomatique : on ne négocie pas avec ceux qui prennent des civils en otage, on les contraint.
Le président n’a plus de majorité, plus de légitimité, et la France ne peut plus tenir deux ans de plus sous ce régime à bout de souffle.
« Vous avez voulu être Jupiter. Vous êtes devenu un fantôme. Ayez au moins cette dernière grandeur : laissez la France respirer sans vous. »