Si les patrouilles de la police nationale sont quotidiennes dans ce quartier, gangréné par le trafic de drogue, certains riverains déplorent que l’évacuation du jardin d’Eole et les démantèlements de camps de migrants n’aient rien changé à la situation.

“C’est clairement pas une situation. Avant, on savait où ne pas aller, maintenant avec ce qu’il se passe, il y a des personnes errantes dans tout le quartier”, déplore Frédéric Francelle, porte-parole du Collectif 19, au micro de BFM Paris Île-de-France.

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