La facilité avec laquelle on se promenait sur les toits de Notre-Dame était connue bien avant l’incendie, la nullité de l’alimentation en eau pour la protection de la charpente avait fait l’objet d’un rapport en 2016, et la violation permanente des monuments de la chrétienté fait partie des activités sportives d’une certaine jeunesse qui fait école dans l’indifférence totale des pouvoir publics, indifférence qui ne s’est même pas démentie depuis que les églises brûlent.

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