Quelques jours avant l’opération Wuambushu, le syndicat de la magistrature a envoyé un mail à ses adhérents les prévenant que “l’autorité judiciaire ne sera pas la caution de violations des droits humains”. La juge Catherine Vannier, qui a signé l’ordonnance suspendant l’opération de démolition, a été vice-présidente du syndicat de la magistrature.

La justice a-t-elle été rendue au nom du peuple français ou des opinions d’un syndicat de magistrats ?

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