Afin de lutter contre certains abus, et sous la pression des élections qui viennent, le gouvernement souhaite retoucher un tantinet l’Aide médicale d’État (AME) qui concerne aujourd’hui près de 300.000 clandestins.

Si le ministre des Solidarités, Agnès Buzyn, a promis de ne pas toucher au panier de soins dont bénéficient les personnes en situation irrégulière, quelques modifications de l’Aide médicale d’État seront tout de même soumises au vote. 

Chirurgie esthétique, cures thermales, procréation médicalement assistée, lunettes, prothèses dentaires et auditives, ou encore médicaments à faible service médical rendu pourraient ne plus être accessibles aux clandestins. 

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