Il faut se faire à l’idée : la gauche a elle-même détruit son plus beau fleuron : l’école publique.

Tout d’abord, l’immigration incontrôlée et endémique a transformé les classes (et les photos de classe…). Puis, la fréquentation d’enfants baragouinant à peine le français a transformé beaucoup d’écoles en cours des miracles.

L’apprentissage – de tous – devenait ainsi quasi impossible.

Ensuite, les « pédagogues », constatant l’effondrement du niveau – secret de Polichinelle qu’il faut nier jusqu’à la mort – ont arrêté les notes, les classements, ont tué peu à peu les diplômes, bac en tête. Et puisque l’enseignement des humanités était devenu une vaste blague, on l’a remplacé par des horreurs : on enseigne aux collégiens la théorie du genre (merci Najat), on leur apprend à se masturber, on leur explique que c’est très bien de changer « d’identité de genre », on fait l’apologie de l’homosexualisme, etc. Et les rares enseignants qui voudraient s’y opposer sont voués aux gémonies : « fascistes ! ».

Enfin, l’augmentation des enfants islamisés – voire islamistes – rend la vie des petites têtes blondes de plus en plus impossible à l’école de la république.

Il restait deux ou trois lieux privilégiés, des écoles d’excellence comme Henri-IV et Louis-le-Grand, mais c’était trop pour les adorateurs de la médiocrité. Ces deux lycées seront donc désormais soumis à l’affectation automatique des enfants, comme n’importe quel lycée du 93.

Il faut donc dire les choses telles qu’elles sont : l’école publique est devenue une poubelle.

Même le réseau des Lycées Français de l’étranger, dont on a longtemps vanté l’excellence, est devenu le repaire de progressistes de tous poils qui détruisent peu à peu le niveau des élèves. Le Bac qu’on y distribue, il n’y a bientôt plus que les chaises qui ne peuvent l’obtenir.

Alors les Français se ruent sur le privé. Confessionnel, ou non. Et plus cette ruée continuera, plus l’école de la république s’éloignera de son idéal d’origine : un enseignement d’égalité pour tous.

On racontera un jour dans les livres d’Histoire que l’école publique fut détruite par les héritiers mêmes de ceux qui la créèrent. La gauche la plus bête du monde.

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