La France a rapatrié, mardi 24 janvier, quinze femmes et trente-deux enfants qui étaient détenus dans des camps de prisonniers djihadistes dans le nord-est de la Syrie, a annoncé le ministère des affaires étrangères.

« Les mineurs ont été remis aux services chargés de l’aide à l’enfance et feront l’objet d’un suivi médico-social », a précisé le Quai d’Orsay dans un communiqué. « Les adultes ont été remises aux autorités judiciaires compétentes », a-t-il ajouté.

7 femmes font l’objet d’un mandat d’arrêt, 8 sont en GAV.

Cette opération de rapatriement collectif, la première de l’année 2023, confirme la rupture déjà entamée en 2022 de Paris avec la politique du « cas par cas », qui lui a valu d’être condamnée par des instances internationales et blâmées par des organismes consultatifs français.

Réaction d’Éric Zemmour :

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