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Il faut avoir vécu dans les pays de l’Est de l’Europe et avoir passé des jours et des jours à écouter les témoignages des survivants des années pré-1990 pour mesurer comme il se doit l’horreur absolue qu’est le communisme. Le simple fait que des partis dans les pays démocratiques puissent encore s’en réclamer est un scandale sans nom, un crachat à la mémoire de millions de victimes. Imagine-t-on un parti nazi avoir pignon sur rue ?

Le communisme, faut-il le rappeler, avant même d’être une dictature sanguinaire installée au pouvoir, c’est d’abord la révolution : c’est-à-dire, en bon français, la bride lâchée aux instincts les plus bas, à la vulgarité, à la veulerie, à la violence, à la laideur. Les prémisses du communisme, ce sont les tricoteuses qui assistent au « procès » de Marie-Antoinette, lui crachent dessus à son passage, et hurlent « à mort ! » lorsque la digne reine emprunte le chemin de l’échafaud. Les prémisses du communisme, c’est toute vulgarité qu’on tolère, qu’on tolère trop.

En ce sens, le couple des enfers – ou de la cour de miracles – Garrido-Corbière est une véritable icône représentative de tout ce que notre société peut engendrer de pire. D’abord, il y a leurs visages. Rares sont, dans la politique hexagonale, des visages suintant autant la haine que celui d’Alexis Corbière. On peut naître esthétiquement désavantagé, c’est une chose et l’on n’y peut rien, mais on peut aussi devenir le résultat de sa propre expression, avoir les traits de son âme. C’est le cas de Corbière. Je l’ai croisé un beau matin dans le XIIe arrondissement de Paris. Son expression est terrible, et bien plus anxiogène encore que via le truchement de la télévision : cet homme, arrivé au pouvoir – ce qu’à Dieu ne plaise ! – serait impitoyable avec ses ennemis, c’est une évidence. Il est de l’engeance dont on fait les pires dictateurs. Il est de la pâte dont étaient ceux qui découpèrent le sexe de la princesse de Lamballe après l’avoir tuée. Il est laid, intérieurement autant qu’extérieurement.

Et la Garrido… pourquoi même l’évoquer ? Fille d’agitateurs d’extrême gauche emprisonnés pour terrorisme, elle est arrivée par cas fortuit en France et n’a pas trouvé de meilleure idée que d’y rester, pour le plus grand malheur de la nation. C’est, elle-même, une montagne de vulgarité, dont le style vestimentaire n’a d’égal que le comportement.

Or, à l’issue de l’excellent débat « Face à Baba » dont l’invité était Éric Zemmour, durant lequel Corbière s’est fait humilier par Stanislas Rigault, le duo infernal Corbière-Garrido s’est jeté sur le jeune Français de 22 ans dans les coulisses du plateau. Les insultes fusèrent de la part du couple de gauche contre ce jeune homme poly-talentueux. Et fort heureusement, tout ceci se déroula devant témoins, ce qui permit à Stanislas Rigault de ne pas subir d’attaque physique…

Il faut désormais en être sûr : la gauche ne reculera devant rien. Ni le mensonge, ni l’insulte, ni la menace physique. La gauche est un cancer.

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