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Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
Au-delà du fait divers, une évidence s’impose : quand l’ordre recule, la barbarie avance. Et l’actualité quotidienne ne cesse de le confirmer.
La gauche crie au scandale, les ONG se posent en martyrs, mais l’opinion italienne sait une chose : sans une politique ferme, Lampedusa, la Sicile et demain toute l’Europe seront englouties sous des flux incontrôlés.
L’assistanat massif des migrants n’est pas un accident : c’est la conséquence directe d’une politique d’immigration sans frontières, doublée d’un État-providence transformé en pompe aspirante.
Combien de réseaux semblables continuent d’opérer en Algérie, au Maroc, en Tunisie ou en Libye, pendant que Bruxelles ferme les yeux ?
Au fond, la situation tunisienne illustre l’échec général de la politique migratoire française.
Les Britanniques, eux, ont choisi : ils préfèrent protéger leurs citoyens plutôt que le confort judiciaire des délinquants venus d’ailleurs.
À Mayotte, la France joue sa crédibilité. Si elle n’est pas capable de protéger une île de 376 km² des flux illégaux, comment pourrait-elle tenir ses frontières nationales ?