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Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
Derrière l’écran des cortèges syndicaux, c’est l’ultra-gauche et ses nervis cagoulés qui s’agitent.
Quand la gauche ne peut pas convaincre, elle choisit d’éliminer.
À force de céder aux pressions communautaristes, certaines municipalités communistes n’ont plus peur de franchir les lignes rouges.
Avec ses menaces dignes des régimes qu’il prétend combattre, Jean-Luc Mélenchon démontre une chose : son projet n’est pas de gouverner la République, mais de la renverser.
À la différence du nazisme, le communisme n’a jamais eu son procès de Nuremberg. En France, il a même longtemps bénéficié de l’aura d’un parti qui se targuait d’être « du côté des ouvriers ».
Ces violences ne sont pas des débordements isolés : elles traduisent une haine profonde de ce que nous sommes, de notre histoire, de notre culture.
Les cathos de gauche ? Ils ont voulu servir deux maîtres. Ils ont perdu les deux.