Un boxeur présent sur Twitter sous l’identifiant « The Punisher » raconte l’ensauvagement gravissime de la ville de Bordeaux. Lisez plutôt.

Ma journée au tribunal judiciaire de Bordeaux

J’invite tous les Bordelais à aller assister à cela pour se rendre bien compte de la situation gravissime de la ville.

J’y étais principalement pour l’affaire du migrant qui a égorgé au cutter un homme Rue du Mirail en février. Le procureur n’a cessé de répéter le mot : ENSAUVAGEMENT. J’ai parlé à un policier (@PierreHurmic).

Au total, 6 affaires de violences graves et de vols : 4 migrants algériens, 1 migrant marocain et une racaille irrécupérable. Aucun d’eux évidemment ne reconnait les faits (« c’est pas moi »). Tous multirécidivistes. Tous très peu condamnés : un des accusés a bénéficié de 5 rappels à la loi par le passé…

Le policier m’a dit être dégoûté : « On les arrête il sont relâchés dans la journée. Tu vois ce mec (celui qui a égorgé une personne), il fait parti d’une bande de 60 migrants qui sévissent à Saint-Michel. Ils sont ultra dangereux. Ils sont tous armé de couteaux. On est démuni face à eux »… 

Dans toutes ces affaires, les migrants étaient en possession de couteau Laguiole. Pourquoi ce couteau ? Il n’est pas considéré comme une arme de catégorie 4. C’est un couteau banal que tout le monde a chez lui, précise un avocat. Aucun n’a été condamné pour possession de celui-ci.

Revenons sur les affaires les plus marquantes : un mec qui a tabassé sa copine dans le TER Bordeaux-Arcachon. Des passagers sont intervenus, ils ont pris des coups. Il a sorti son couteau Laguiole. Pas condamné pour ça. Juste pour les coups et vols. Seulement 4 mois de prison.

Un autre a insulté une famille à la « plage » de Bordeaux-Lac. Complètement bourré, il a empoigné avec force leur enfant de 2 ans « pour lui faire faire l’avion ». Il est tombé avec l’enfant. L’enfant a des séquelles et il est traumatisé. 27ème condamnation pour lui. Les policiers qui l’ont arrêté étaient de la partie civile pour outrage : « Jamais ils n’ont été autant insultés ». L’accusé était irrespectueux avec la juge, le procureur, les policiers. Aucune excuse… Tout simplement irrécupérable. Peine : 8 mois de prison car récidiviste.

Et le bouquet final, raison de ma présence : un migrant algérien avec – tenez-vous bien – plus de 10 identités différentes. Car oui, telle est leur technique pour montrer pattes blanches quand ils se font arrêter. Auteur d’un égorgement de sang-froid à Saint-Michel. Son traducteur n’a cessé de répéter : « c’est pas moi, wallah ». Sauf que les victimes l’ont reconnu sur photo, puis derrière une vitre teintée et lors d’une confrontation. C’était en février, il a égorgé un homme de 30 ans rue du Mirail après la tentative de vol d’un téléphone.

La juge montre la photo de l’égorgement. Tout le monde est horrifié. C’est tout simplement inhumain, digne des films les plus gores. La victime est miraculeusement en vie. Elle décrit la scène, digne. 51 points de suture, traumatisée, suivi psychologique, défigurée à vie.

Le Procureur de la République fait son réquisitoire. Les larmes aux yeux et la voix tremblante. L’avocat de la victime dira ne l’avoir jamais vu dans cet état. Tout le long de la journée il n’a cessé de répéter les mêmes mots : ENSAUVAGEMENT. Des « sauvages » à Bordeaux. Car oui, le Procureur a décrit toute la journée ce qu’il se passe à Bordeaux depuis 1 an : « Une arrivée massive de migrants qui commettent des crimes sauvages quotidiennement. Agressions, coups de couteau, de cutter, de machette. Il est dangereux de sortir à bordeaux le soir » 

L’accusé niera évidemment les faits tout le long. La juge n’est pas dupe. Tout le monde l’a reconnu. C’est un sauvage, un barbare. Comme les autres, il avait déjà une interdiction du territoire français (chose qui n’est jamais suivi des faits apparemment). Pour cet acte inhumain, un égorgement, la sentence sera de (seulement) 3 ans de prison. Il demandera de la purger en Algérie. Bon débarras ! Son acte n’a pas été qualifié de tentative de meurtre d’où ce jugement dans cette cour. Il aurait pourtant mérité bien bien plus…

Le policier était désabusé. Il m’a vraiment décrit un cauchemar. Que la situation était extrêmement grave à Bordeaux. Plusieurs bande de migrants drogués et alcoolisés qui sont tous armés et qui n’hésitent pas à s’en servir. Des sauvages multi-récidivistes.

Je voulais vous partager cela. Le désarroi du policier, la colère du Procureur de la République face à cette montée de la violence SAUVAGE qui sévit dans notre ville.

Cette justice qui reste laxiste envers ces gens irrécupérables qui nous agressent.

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