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Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
On croit parfois avoir tout vu. Mais le progressisme n’a décidément plus de limite outre-Manche.
Pendant que la France des “gueux” et des “Nicolas qui paie” s’étrangle devant les nouvelles coupes budgétaires, la France officielle, elle, déroule le tapis rouge à ceux qui défient les symboles républicains sans que personne ne s’en émeuve.
On peut taxer le travailleur, rogner les retraites, étrangler les familles avec une fiscalité délirante. Mais on ne touche pas au tabou migratoire.
Sans tambour ni trompette, sans débat parlementaire, sans consultation du peuple, la France vient d’ouvrir grand ses portes. Tous les Gazaouis qui le demanderont obtiendront désormais automatiquement le statut de réfugié politique.
Faut-il attendre qu’un nouveau carnage se produise pour oser poser les vraies questions ?
Vouloir sauver les finances publiques sans revoir la politique migratoire, c’est comme écoper un navire percé en refusant de regarder la voie d’eau. Les Français l’ont compris. Le Sénat, manifestement, non.
L’expulsion des criminels étrangers ne peut plus être une hypothèse lointaine, entravée par la paperasse ou l’attentisme diplomatique. Elle doit devenir une priorité nationale.