Chaque jour, recevez gratuitement nos informations dans votre boite mail.
Votre opinion, votre expérience et vos reflexions nous intéressent.
Soutenez La Lettre Patriote à partir de 7 euros par mois !
Publicité
Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
Bienvenue dans l’art diplomatique à la française version Macron : tendre l’autre joue, puis dérouler le tapis rouge.
Derrière chaque statistique se cache une vie qui ne verra jamais le jour, un prénom qui ne sera jamais prononcé. Et un pays qui, peu à peu, s’éteint en se persuadant qu’il progresse.
Ceux qui passent leur temps à traiter leurs adversaires de « fascistes » ou de « nazis » finissent par créer le climat dans lequel l’assassinat politique devient acceptable, voire désirable.
75.050 euros de dépenses en quatre ans, pour garnir ses armoires de Dior, Burberry ou Bompard, pendant que des milliers de Parisiens dorment dehors, que les rues sentent l’urine et que les ordures s’amoncellent.
Catherine Pégard fut la conseillère de Sarkozy, l’ordonnatrice de Versailles, l’ambassadrice d’un désert saoudien, et désormais l’ombre culturelle de Macron.
Voilà donc la politique migratoire de la République : supplier des criminels étrangers de bien vouloir s’en aller, leur glisser une enveloppe dans la main et les raccompagner poliment à l’aéroport.
Marine Le Pen désigne les vraies sources du déficit : les flux migratoires incontrôlés, les cotisations françaises versées à Bruxelles, et les rentes d’un appareil d’État devenu obèse.