Un élu municipal nantais raconte : “Nantes était une ville très calme. Aujourd’hui, Nantes se compare aux pires villes françaises (…) Il y a eu un appel d’air (concernant les migrants). La maire refuse d’agir par idéologie”

« C’est de pire en pire », soufflent des enquêteurs de la police. Mercredi soir 28 septembre 2022 à Nantes, des tirs en rafale et un jeune homme de 17 ans touché au thorax en plein jour. Le lendemain matin, un corps en partie brûlé dans un parc…

Tous se disent inquiets, très inquiets ​après la série noire qui secoue des quartiers nantais et la cité des Dervallières, en particulier, ces dernières semaines. On est face à un tel déchaînement de violence incontrôlée que je ne comprends plus. Avant, les truands réglaient leurs comptes entre eux. Là, on a affaire à des gars qui rafalent à l’arme de guerre en plein jour un jeune qui n’a aucun antécédent. Et qu’il y ait des policiers tout près n’y change rien. On met des policiers sur le terrain. Ça tire quand même à tout-va.

Et selon Johanna Rolland, maire de Nantes, « Jamais la police municipale, parce que ce n’est pas son travail, ne pourra empêcher un viol dans la rue ».

Ben voyons.

Print Friendly, PDF & Email